Stanley Enow remplit le Stade Militaire de Yaoundé

Living Together Festival : Stanley Enow remplit le Stade Militaire de Yaoundé. 

Par: Junior King Ondoua 

L’artiste rappeur et entrepreneur a clôturé son concept baptisé  » Living Together Festival  » de manière simple et efficace avant de se concentrer sur ses prochains défis innovants.

Il avait la larme à l’œil, Stanley Enow, dimanche 10 août 2025, au moment de remercier les 20. 000 personnes qui ont participé à son concert au Stade Militaire de Yaoundé. Bel apogée de carrière pour cet digne fils du Cameroun rappeur, communicant qui, en cette période festival.

Stanley a donc réussi son pari : être le premier artiste de musique urbaine camerounaise à organiser en un laps de temps un festival et un concert Live et malgré les coulisses de l’organisation remplir le Stade Militaire de Yaoundé, d’où cette phrase que Tony Nobody, en première partie, n’a cessé de répéter d’un air un brin pompeux : « Vous allez faire partie de l’histoire avec nous. » en annonçant son poulain sur la scène.

Pour ce concert, Mr Gentleman a pourtant fait simple. La scénographie n’a rien des décors grandiloquents des rappeurs américains qui sont ses modèles.

Il n’y a guère que quelques lampes allumés tenus par ses danseurs et de part et d’autre de la scène, deux écrans vidéo géant qui diffusent le visage du chanteur et de ses nombreux invités en mode 360 °. Il est 1h07 quand le Bayangui fait son entrée vertu d’une tenue noire aux plumes tout s’explique il venait pour s’en voler au dessus du plateau Mvog Atemegue et il l’a fait en trois passages séquences de trois interprétations.

Les musiciens portent des identifiants, les danseurs portent des uniformes en fonction des chansons. pompiers de Paris, lui un pantalon en cuir clouté à la Johnny Hallyday. L’ensemble du spectacle porte sur la voix de baryton de Gims et sur la qualité de ses instrumentistes. Les musiciens, menés par le bassiste Franck Boom Jean, semblent pouvoir jouer tous les registres, de la rumba au flamenco en passant par le rap, et même accompagner le chœur des voix bulgares qui introduisent d’une jolie manière le titre La même.

 

Beau point final également à

 

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *